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Vous êtes mort. Vous ne le savez pas, bien sûr, c’est pour cette raison que je vous l’indique, dans mon immense générosité. Oh, mais quelle tête vous tirez ! Vous ne vouliez pas le savoir ? Hé bien, vous l’auriez su à un moment ou un autre, alors autant faire passer la pillule au plus vite, vous ne vous en porterez que mieux. [...] Si vous êtes ici, c’est que vous avez fait quelque chose qui a fortement déplu à messire de votre vivant. Vous avez dérogé à votre destin, vous avez osé vous insurger face à ceux qui avaient écrit votre histoire. Alors, à votre mort, vous avez atterri ici. Pour réparer vos conneries. Comment ? Ce n’est pas mon problème, ça, c’est le vôtre. More ?
  
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