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You're addicted to me, don't you know that I'm ♛ TOXIC ?

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Toxic

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Toxicse balade dans le Manoir !



EX-SBIRE
MESSAGES : 3

MEMBRE DEPUIS LE : 17/04/2018
EX-SBIRE

© Beast's Law

You're addicted to me, don't you know that I'm ♛ TOXIC ?  Empty
MessageSujet: You're addicted to me, don't you know that I'm ♛ TOXIC ? You're addicted to me, don't you know that I'm ♛ TOXIC ?  EmptyVen 20 Avr - 22:54


Toxic
« A man like me should wear a warning »
(Ancienne) identité Francesco Álvares Vicente
Nationalité portugais
Années de naissance et de décès 1495-1532
Âge lors du décès 37 ans
Raison du décès mort naturelle

Groupe Errants (ex-Sbire)
Au Manoir depuis 1550 (468 ans)
Âge physique 27 ans
Pouvoirs
  • Venomous
Tu es toxique, tu le sais ? Une femme t'avait un jour balancé cette charmante phrase, faisant référence au fait que tu faisais tourner toutes les têtes et rendait folles toutes ces dames. Malgré toi. Hé bien, loin d'être une phrase aussi anodine que ça, on peut dire qu'elle a prit tout son sens quand tu t'es réveillé au Manoir, du poison dans les veines, la peau devenue si toxique que toucher quelqu'un peau contre peau devenait dangereux. Telle une chenille urticante, ton contact était devenu néfaste, brûlant d'abord, mortel à forte dose. Toxique, voilà ce que tu étais devenu. Voilà pourquoi tu t'étais ainsi baptisé.
Tu as bien espéré que ta déchéance au rang d'Errant aurait atténué voir détruit ce don tenant de la malédiction physique mais il n'en fut rien.
  • Bloodterfly
Du temps où tu étais Sbire, ce don t'était très précieux car sacrément utile. Façonnés de ton sang, ces jolis papillons noirs te permettaient d'envoyer des messages un peu partout dans le Manoir (parce que les messages vocaux c'est plus classe quand c'est un papillon qui les transmets et non un de ces... quel est le nom déjà ? ah oui... "téléphone portable"). Et comme ton sang est en réalité du poison, tu t'en servais parfois pour ne pas te salir les mains directement, pour infliger la brûlure que cause ta peau nue à l'aide d'une de ces beautés noires, tel un tatouage qui brûlerait et tuerait à petit feu. Mais il semblerait que, depuis que tu es un Errant, le pouvoir corrosif de ces merveilles se soit profondément amoindri, alors que tu ne les utilises plus que pour transporter tes messages.

Quelques mots sur le caractère
S'il fallait te définir d'un seul terme, ce serait paresseux. Tu n'aimes pas les embrouilles, tu les évites comme la peste depuis ta brusque déchéance, et comment pourrais-tu tomber dedans si tu ne bouges pas de ton lit ? La vie serait tellement plus agréable si elle était aussi simple, mais voilà, tu es en réalité un véritable aimant à problèmes, même quand tu ne bouges pas le petit doigt. Bon, d'accord, tu es une grande gueule, ça aide probablement pas non plus, hein. Balancer des vacheries et provoquer les gens chez toi presque aussi inné que ta tendance à fuir les problèmes, deux instincts parfaitement incompatibles puisque généralement, si tu prends la poudre d'escampette, c'est parce que tu as une fois de plus ouvert ta grande gueule.
Séducteur, faussement gentleman, tu sais exactement quoi faire pour arriver à tes fins, et tu en uses et abuses sans honte.

Code:
<span class="taken">Tyki Mikk</span> de [i]D.Gray-Man[/i] est [b]Toxic[/b]


(after)Life
S'il y a bien deux choses que tu sais sur toi, ton passé, et ta présence au Manoir, c'est que de un, tu ne sais fichtrement pas pourquoi tu t'es réveillé dans la peau d'un Sbire, et de deux, que malgré tes siècles de présence au Manoir, tu n'as qu'une vague idée de ce que tu fais encore ici.

Des souvenirs, tu en as, bien entendu. Tu parcours en long et en large le Manoir depuis plus de trois siècles, ce serait inquiétant si tu ne te souvenais de rien. Non, ce qui te manque surtout, c'est la date, le siècle au cours duquel tu as vécu. Fils cadet d'un marchand qui fit fortune grâce à la Casa di India, tu as reçu une bonne éducation, bien que sommaire puisque personne ne fondait de grands espoirs sur toi car tu n'étais pas l'aîné, l'héritier, celui qui vivrait de ses grassouillettes rentes s'il avait l'intelligence de bien gérer son truc. Néanmoins, tu avais accès aux fond de ton géniteur, et ce n'était déjà pas si mal.
Si ton frère avait hérité de la première place, toi tu avais reçu une belle gueule, et les manières qui allaient avec. C'est par cette voie-là que tu te fis ta place, par le jeu de la séduction et, n'ayons pas peur de le dire, de la prostitution. Tu étais un amant reconnu et toutes ces dames ne se gênaient pas pour t'entretenir grassement à condition que tu partages leur couche, que tu parades à leur bras, même si ce ne devait être que pour un court instant puisqu'aucune ne parvenait jamais à te retenir très longtemps. Ton père ne se plaignait guère de la réputation plus que sulfureuse que tu traînais, puisque tu faisais ton chemin jusque dans les plus hautes couches de la société et, comme les femmes étaient sensibles à tes charmes, tu les manipulais comme des poupées et sur un seul mot de ta part elles pouvaient mener les commerces de ton père à la faillite.

Tu étais un papillon de feu, et les femmes le savaient, mais elles venaient tout de même se brûler à tes ailes enflammées pour connaître le frisson du danger. Puis un jour, était apparue cette femme. Celle qui précipiterait ta chute, des siècles plus tard, dans une autre vie, un autre lieu.
C'était l'une de ces longues, pompeuses et ennuyantes réceptions. Les femmes te couvaient du regard en fusillant des yeux celle dont tu tenais la main, celle qui avait obtenu tes faveurs pour la soirée. Ta partenaire t'avait présenté à toutes les pointures présentes, fière de pouvoir te montrer ses nombreuses connaissances et connections. Tu t'étais laissé faire, jaugeant qui tu approcherais par la suite pour étendre ton propre réseau de connections. Tu étais passé depuis longtemps du rang de catin à celui de courtisan très courtisé. C'était toi qui choisissais tes partenaires, et non plus l'inverse. Tu avais le pouvoir, et il ne dépendait plus des femmes que tu fréquentais. Tu t'affichais désormais parce que tu aimais le poids des regards sur toi, et non plus parce que tu avais besoin de visibilité pour grimper.

La soirée avait continué à s'écouler avec lenteur, jusqu'au moment où on te mena, avec ta cavalière, jusqu'à une salle à l'écart, pour que commencent les réjouissances plus... privées. Pas d'orgie ou quoi que ce soit, qu'allez-vous donc vous imaginer ? Affalé dans les coussins qui débordaient littéralement d'un sofa, tu avais pris la liberté d'ouvrir un peu ta chemise, de déranger tes cheveux si bien coiffés. Un regard interrogatif lancé à ta partenaire, et celle-ci t'avais lancé une œillade satisfaite. « J'ai rendez-vous avec... hmm, qu'importe. Pour te dédommager, je te laisse en très bonne compagnie. » Il arrivait souvent aux femmes de te faire les yeux doux dans le seul but d'attiser les regards ou la jalousie d'un autre, et loin de t'agacer ça ne faisait que renforcer ton égo. Te mettant à l'aise, tu ne lui adressas pas le moindre regard alors qu'elle s'éclipsait pas une porte dérobée.
Puis la danseuse étrangère entra, et ton regard se fit appréciateur. Oh, mais que vous imaginez-vous donc, encore ? Un coup de foudre, l'amour avec un grand A ? Oh, rien de tout ça, j'en suis désolée. Tu avais joué avec les corps et les cœurs tellement souvent que tu n'avais pas confiance en ton propre cœur, puisque tu savais qu'il fallait d'un rien pour manipuler celui des autres, et pour quelle obscure le tien serait-il moins malléable ?
L'étrangère avait dansé, tu l'avais caressée du regard, vos corps ne s'étaient touchés que quand tu lui avais fait le baise-main, des heures plus tard, alors que la soirée touchait à sa fin. Tu n'avais pas retenu son nom.
Mais tu avais déjà, sans le savoir, gâché son Destin.

Le temps avait continué à s'écouler, tu ne l'avais plus croisée qu'à de rares occasions. Un jeu de séduction s'était installé entre vous, basé sur les regards et les phrases à double sens. Mais vous ne vous vous étiez jamais touchés. Elle aussi elle jouait de son corps pour se faire une place, mais vous fréquenter l'un l'autre ne vous apporterait rien, si ce n'est des ennuis. « Tu es toxique, tu le sais ? » Tu avais souri, amusé. Oh que oui, tu le savais. « Et la Belle est venue. » Elle avait ri à la référence.

Et vos deux vies s'étaient achevées, suivant le cours du temps. Et tu t'étais réveillé sur le sol froid du Manoir, aux pieds de Beast. « Désormais tu seras sous mes ordres, toi que j'ai tiré des abîmes du Temps. Quel est ton nom, Sbire ? » Tu t'étais légèrement redressé, jaugeant la créature face à toi. « Toxic. À votre service, Beast. »

Certes, nous pourrions nous arrêter ici dans l'histoire... mais ce serait oublier que tu as perdu ton statut de Sbire, tu as chuté parmi les Errants... et pourquoi donc, hein ? Parce que cette charmante danseuse arriva un beau jour au Manoir. Parce que cette charmante créature était là par ta faute. Tu ignorais cela, mais elle était un élément de ton passé décousu et... tu ne savais pas pourquoi, mais tu avais voulu lui offrir une belle place, une place au Paradis, sans même savoir où elle aurait fini si son Destin avait été remis sur les rails, si tu avais fait ce que tu aurais dû faire.

Par la ruse et la séduction, tu avais amené un ange à croire qu'elle avait gagné sa place au Paradis. Beast n'avait pas apprécié. Pas du tout. Tu aurais pu être détruit, mais c'était une punition bien trop douce aux yeux du Maître des lieux. À la place, tu perdis ton statut et tes pouvoirs en prirent un coup. Mais ce n'était que le début de ta punition, comme tu le découvriras plus tard...

« Te détruire serait une bien trop douce punition... à la place, je te condamne à errer dans ce Manoir, privé de tout privilège, tel le moins que rien que tu es ! Ne t'avise pas de me trahir une deuxième fois, Toxic. »

Tirant une cigarette de ta poche, tu t'étais éloigné, sifflotant doucement, tournant le dos à Beast.

No one can blame you for walking away
But too much rejection, uh-huh
No love injection, nothing

Life can be easy
It's not always swell
Don't tell me truth hurts, little girl
'Cause it hurts like hell

But down in the underground
You'll find someone true
Down in the underground

It's only forever
Not long at all
Lost and lonely
That's underground, underground


Screenshot !
@sweetie

22 ans
Fondatrice

you're welcome




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